Le manoir doit sa renommée au plus illustre de ses habitants : René-Aubert de Vertot (1655–1735), historien, abbé et académicien. Né à Bennetot, il y passa sa jeunesse, entre les murs de cette demeure familiale, avant de rejoindre Paris où il devint membre de l’Académie des Belles Lettres et précepteur du duc d’Orléans, frère du roi Louis XIV.
Passionné par l’histoire des grands ordres chevaleresques, il consacre l’essentiel de sa vie à la rédaction de son œuvre maîtresse : L’Histoire des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, publiées en 1726 — un ouvrage monumental en sept volumes, retraçant l’épopée de l’Ordre, depuis Jérusalem jusqu’à Malte, en passant par Rhodes.
En 2025, une nouvelle page s’est ouverte avec la rénovation complète de l’Orangerie, ancien bâtiment du domaine transformé en un espace de réception baigné de lumière.
L’Orangerie du Manoir de Vertot incarne aujourd’hui l’alliance parfaite entre mémoire et modernité, entre le respect du patrimoine et l’élan du présent. Chaque pierre, chaque arbre, chaque détail du lieu raconte une histoire, celle d’un manoir normand devenu écrin d'exception.
En 2025, une nouvelle page s’est ouverte avec la rénovation complète de l’Orangerie, ancien bâtiment du domaine transformé en un espace de réception baigné de lumière.
L’Orangerie du Manoir de Vertot incarne aujourd’hui l’alliance parfaite entre mémoire et modernité, entre le respect du patrimoine et l’élan du présent. Chaque pierre, chaque arbre, chaque détail du lieu raconte une histoire, celle d’un manoir normand devenu écrin d'exception.
Ce lien profond avec les valeurs chevaleresques se perpétue aujourd’hui encore : Olivier de Préville, actuel propriétaire du domaine, est lui-même chevalier de l'Ordre Souverain de Malte et ambassadeur auprès de la République du Niger, poursuivant à sa manière la tradition d’engagement et d’héritage portée par l’abbé de Vertot.
Ce lien profond avec les valeurs chevaleresques se perpétue aujourd’hui encore : Olivier de Préville, actuel propriétaire du domaine, est lui-même chevalier de l'Ordre Souverain de Malte et ambassadeur auprès de la République du Niger, poursuivant à sa manière la tradition d’engagement et d’héritage portée par l’abbé de Vertot.
Ce texte fondateur reste aujourd’hui une référence incontournable pour les historiens de l’Ordre de Malte.
Ce lien profond avec les valeurs chevaleresques se perpétue aujourd’hui encore : Olivier de Préville, actuel propriétaire du domaine, est lui-même chevalier de l’Ordre de Malte, poursuivant à sa manière la tradition d’engagement et d’héritage portée par l’abbé de Vertot.
Les premières pierres du manoir auraient été posées par des architectes italiens venus en France avec Catherine de Médicis, à la suite de l’interruption du chantier du château de Gaillon. On reconnaît dans certains détails l’influence de la Renaissance italienne, subtilement adaptée aux matériaux locaux et aux traditions cauchoises.
Au fil des siècles, le domaine a connu embellissements et transformations. Il a aussi traversé l’épreuve du feu : un incendie, dont la date reste imprécise, a détruit une partie des bâtiments. Une reconstruction partielle en brique, notamment sur la façade principale, a permis de redonner vie à l’ensemble tout en respectant son esprit d’origine.
Les premières pierres du manoir auraient été posées par des architectes italiens venus en France avec Catherine de Médicis, à la suite de l’interruption du chantier du château de Gaillon. On reconnaît dans certains détails l’influence de la Renaissance italienne, subtilement adaptée aux matériaux locaux et aux traditions cauchoises.
Au fil des siècles, le domaine a connu embellissements et transformations. Il a aussi traversé l’épreuve du feu : un incendie, dont la date reste imprécise, a détruit une partie des bâtiments. Une reconstruction partielle en brique, notamment sur la façade principale, a permis de redonner vie à l’ensemble tout en respectant son esprit d’origine.
Histoire
Histoire
Histoire
UN MANOIR NORMAND
DU XVIe SIECLE
UN MANOIR NORMAND
DU XVIe SIECLE
Le manoir doit sa renommée au plus illustre de ses habitants : René-Aubert de Vertot (1655–1735), historien, abbé et académicien. Né à Bennetot, il y passa sa jeunesse, entre les murs de cette demeure familiale, avant de rejoindre Paris où il devint membre de l’Académie des Belles Lettres et précepteur des enfants du duc d’Orléans, frère du roi Louis XIV.
Passionné par l’histoire des grands ordres chevaleresques, il consacre l’essentiel de sa vie à la rédaction de son œuvre maîtresse : L’Histoire des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, publiées en 1726 — un ouvrage monumental en sept volumes, retraçant l’épopée de l’Ordre, depuis Jérusalem jusqu’à Malte, en passant par Rhodes. Ce texte fondateur reste aujourd’hui une référence incontournable pour les historiens de l’Ordre de Malte.
Le manoir doit sa renommée au plus illustre de ses habitants : René-Aubert de Vertot (1655–1735), historien, abbé et académicien. Né à Bennetot, il y passa sa jeunesse, entre les murs de cette demeure familiale, avant de rejoindre Paris où il devint membre de l’Académie des Belles Lettres et précepteur du duc d’Orléans, frère du roi Louis XIV.
Passionné par l’histoire des grands ordres chevaleresques, il consacre l’essentiel de sa vie à la rédaction de son œuvre maîtresse : L’Histoire des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, publiées en 1726 — un ouvrage monumental en sept volumes, retraçant l’épopée de l’Ordre, depuis Jérusalem jusqu’à Malte, en passant par Rhodes.
L'ABBÉ DE VERTOT
L'ABBÉ DE VERTOT
L'ABBÉ DE VERTOT
UNE RENAISSANCE CONTEMPORAINE
UNE RENAISSANCE
COMTEMPORAINE
UNE RENAISSANCE CONTEMPORAINE
L'HISTOIRE
DANS LA PIERRE
L'HISTOIRE
DANS LA PIERRE
L'HISTOIRE DANS LA PIERRE
Les premières pierres du manoir auraient été posées par des architectes italiens venus en France avec Catherine de Médicis, à la suite de l’interruption du chantier du château de Gaillon. On reconnaît dans certains détails l’influence de la Renaissance italienne, subtilement adaptée aux matériaux locaux et aux traditions cauchoises.
Au fil des siècles, le domaine a connu embellissements et transformations. Il a aussi traversé l’épreuve du feu : un incendie au début du XVIIIe siècle a détruit une partie du Manoir. Une reconstruction partielle en brique, notamment sur la façade principale, a permis de redonner vie à l’ensemble tout en respectant son esprit d’origine.
Situé à Bennetot, au cœur du Pays de Caux, le Manoir de Vertot est un exemple remarquable de l’architecture rurale noble normande. Construit au XVIᵉ siècle, il se compose d’un logis principal en brique et silex, d’un colombier du XVIIe siècle, d'écuries et d’une logette à pans de bois du XVe siècle, l'élément le plus ancien de la bâtisse.
Autour de lui, un clos-masure typique s’étend sur près de 10 hectares, entre vergers de pommiers, mare et sous-bois. Contrairement à beaucoup d’autres, celui du Manoir de Vertot est resté intact, témoignage rare d’un paysage rural préservé.
Ce caractère exceptionnel lui a valu d’être inscrit au titre des Monuments Historiques en 1991.
Situé à Bennetot, au cœur du Pays de Caux, le Manoir de Vertot est un exemple remarquable de l’architecture rurale noble normande. Construit au XVIe siècle, il se compose d’un logis principal en brique et silex, d’un colombier du XVIIe siècle, d'écuries et d’une logette à pans de bois du XVe siècle, l'élément le plus ancien de la bâtisse.
Autour de lui, un clos-masure typique s’étend sur près de 10 hectares, entre vergers de pommiers, mare et sous-bois. Contrairement à beaucoup d’autres, celui du Manoir de Vertot est resté intact, témoignage rare d’un paysage rural préservé.
Ce caractère exceptionnel lui a valu d’être inscrit au titre des Monuments Historiques en 1991.
